Navette Lille-Mons en I barré
Rue du Général de Gaulle où la circulation augmente, sans chevaux, un tramway I barré qui fait la navette Lille-Mons est arrivé au terminus.
Le wattman va décrocher la perche du trolley de gauche, sens montant, pour la poser sur le trolley de droite.
Où la circulation augmente...
Avant le pont du Lion d’Or, entre les deux guerres, le trafic se diversifie : voitures à cheval, camionnette, conduite intérieure…
A gauche, l’entrée de la rue Désiré-Courcot.
On distingue de chaque côté les immeubles détruits pour la Voie rapide.
Voyez ma belle automobile
En 1906, il n’était pas courant de posséder une automobile. Aussi, le couple Waymel –
patrons de la Brasserie de Mons-en-Barœul – s’est-il fait imprimer des cartes postales où on le voit à bord de sa Renault type U(a) de 10 chevaux.
Elle atteignait les 50 Km/h.
Encore un tramway à vapeur
Cette carte postée en 1905 mais plus ancienne montre le tramway à vapeur route de Roubaix (de Gaulle) à hauteur de la rue Pasteur.
Les installations de la « Grande Pépinière du Nord », à gauche, indiquent l’endroit où sera percée, en 1911,
la future rue Henri Poissonnier.
La chaussée n’est guère dangereuse.
Une belle carte du Lion d’Or tel qu’il fut jusqu’à la percée de la Voie rapide dans les années soixante-dix. Peu de circulation individuelle encore,
hormis les voitures à cheval et bien entendu le cher tramway F qui arrive de Saint-Maurice.
Tramway et voiture à bras
Cette vue du carrefour Daubresse-Mauviez(de Gaulle)/Mirabeau/Sablière vers 1910 illustre la couverture du livre « Mons-en-Barœul, du village à la ville ».
Petits et grands ont posé pour la postérité, y compris le pharmacien Parsy sur le pas de son officine.
Le tramway F avec remorque
Jolie vue du Tape Autour où le tramway F, tractant sa remorque, va s’engager dans le virage. A droite, la boucherie Brame et le café à l’enseigne du Tape Autour.
A gauche, celui du « Soleil levant », alors tenu par Richard Delemar.
Grande rue bien calme
Cette carte postée en 1910 montre combien la grande rue de Lille à Roubaix restait paisible dans la journée. Un robuste chariot tiré par deux chevaux arrive d’un bon pas,
mais il n’empêche pas de faire tranquillement de la figuration au beau milieu de la chaussée.
La grande époque du cheval
Dans les années trente, une voiture hippomobile livre la bière au Trocadéro. C’est encore, mais plus pour longtemps, l’époque où
« la plus noble conquête de l’homme »
rend de multiples services, pour la guerre, pour les transports, pour le sport.
Belle collection de camions
A une date malheureusement non précisée, la théorie des camions de livraison de la Brasserie coopérative de Mons-en-Barœul. Sauf erreur,
ils sont ici douze mais un autre carte,
faisant le pendant à celle-ci, représente une quinzaine de voitures hippomobiles.
Rassemblés pour la parade
A raison de deux par voiture, les chevaux de la Brasserie de Mons-en-Barœul sont ici une bonne trentaine, fiers de poser pour la photo.
Ils ont été réquisitionnés par l’armée à la mobilisation de 1939 et les habitants du quartier les ont vus partir avec tristesse.
Les livraisons à domicile
Les voitures de la Brasserie coopérative de Mons-en-Barœul sillonnaient les routes de la région pour porter les caisses de bière à la clientèle.
Ici, un « garçon brasseur » devant un établissement scolaire, sans doute lillois, dont il approvisionnait la cantine.